Lyon, italienne...
À la veille de 1914, les Italiens constituent près des 2/3 des étrangers de l’agglomération. Même si leur nombre dans la population étrangère décroit peu à peu du fait des naturalisations et de l’apparition de nouvelles filières migratoires, leur poids numérique demeure important jusque dans les années 1960.
Les Italiens ont marqué de nombreux quartiers de leur présence : Commerces et cafés italiens, vie associative et religieuse très riche leurs ont permis de préserver une partie du lien et des relations sociales de leur pays d’origine.