C'est arrivé à Lyon

Décès à Trévoux de Louis de Villars, archevêque.

Bulle de Clément V nommant Pierre de Savoie à l'archevêché de Lyon, en place de Louis de Villars, décédé.

Traité d'échange, réglant tout conflit, entre l'archevêque Pierre de Savoie et Guichard, sire de Beaujeu.

L'archevêque Pierre de Savoie ayant chassé de Saint Just les officiers royaux, une armée commandée par le prince Louis, fils du Roi, s'empare de Lyon et fait prisonnier l'archevêque.

Traité par lequel l'archevêque Pierre de Savoie reconnaît au roi Philippe le Bel la juridiction du Lyonnais, et le "mère et mixte empire" sur la cité. Lyon est définitivement incorporé au royaume.

Edit de Pontoise créant la Sénéchaussée de Lyon.

Charte de l'archevêque Pierre de Savoie, acceptant et authentifiant la cession à l'abbé de la Chassagne, l'abbé de Hautecombe, de l'oeuvre du pont du Rhône avec ses droits et ses charges, y compris l'hôpital de l'Hôtel-Dieu.

Acte d'échange par lequel le comte de Savoie Amédée V acquiert des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem le terrain et la maison du Temple de Lyon, contre des rentes à la Verpillière.

Election du pape Jean XXII (Jacques d'Euse, évêque de Porto), après 41 jours de conclave, dans le couvent des frères Prêcheurs.

Le pape Jean XXII, élu le 7 août par le conclave tenu chez les frères prêcheurs, est couronné à Saint-Jean.

Fondation de la Chambre des Comptes de Montbrison.

Le Chapitre de Lyon donne son assentiment à l'installation des Augustins.

Traité entre le Roi et l'Eglise de Lyon. Le Roi rend à l'Eglise la justice, moyennant la souveraineté, l'hommage-lige et la justice d'appel.

Les chanoines de Lyon prêtent serment au Roi, entre les mains d'Hugues Giraud.

Les habitants de Lyon (3054) prêtent serment de fidélité au Roi.

Les procureurs des citoyens ratifient le traité conclu le 4 avril entre le Roi et l'Eglise de Lyon.

A la suite du traité avec le Roi de France en avril 1320, l’archevêque Pierre de Savoie confirme les libertés politiques de la commune de Lyon en lui octroyant la charte sapaudine. Le texte, qui tire son nom de Sapaudia, le nom latin de la Savoie, énumère des droits parmi lesquels Lyon peut désormais élire des conseillers ou consuls pour s’administrer, conserver ses archives, lever des impôts (selon certaines modalités), organiser des gardes de nuit, prendre les armes, garder les clés et les portes de la ville... Cette charte donne aussi un cadre aux relations entre les bourgeois et leur seigneur, notmament d'un point de vue judiciaire. L'original de la charte a été perdu, mais des copies authentiques sont conservées aux Archives municipales de Lyon et aux Archives du département du Rhône et de la Métropole de Lyon. Consultez la copie numérique et un article sur les 700 ans du texte.

Par arbitrage amiable entre Briand de Lavieu, seigneur de Roche la Molière, et son vassal Giraud, le droit exclusif d'ouvrir une carrière de charbon dans la seigneurie est reconnu à Briand.

Consécration, par l'archevêque Pierre de Savoie, de la nouvelle église des Cordeliers, sous le vocable de St François d'Assise

Le roi Philippe VI transfère de Mâcon au bourg de l'Ile-Barbe le siège des appels pour le ressort du Lyonnais.